Le judaïsme dénonce l'ivg comme "absurde". Pourtant, cette religion et quelques autres définissent cet acte licite sous certaines conditions: Les juifs acceptent donc d'avoir recourt à cet extrémisme lorsqu'aucune autre issue n'a été trouvée. Cependant, l'intervention doit être pratiquée avant le 40ème jour de la grossesse. Dans le catholicisme, l'islam et le judaïsme, la vie de la mère, jusqu'à la naissance, est prioritaire sur celle de l'enfant: En cas de risque majeur pour l'enveloppe maternelle, l'on préconise l'avortement. Les musulmans tolèrent d'y avoir recourt jusqu'à 14 semaines d'aménorrhée*, car d'après eux: "Dieu a insufflé la vie au 100ème jour."
L'orthodoxie et le bouddhisme ignorent tout cela et interdisent formellement l'ivg aux croyants.
Seuls les protestants sont assez ouverts d'esprit pour accepter cette éventualité. Toutefois, ils évitent au possible cet échappatoire et cherchent d'autres alternatives. Malgré tout, chacun des fidèles sont libres de leurs choix et de leurs actes.
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